Du 4 au 16 janvier #MissingType est de retour ! Afin de sensibiliser au don du sang, l’Etablissement Français du sang (EFS) lance pour une nouvelle fois son opération Missing Type. Le don du sang s’inscrit dans les valeurs du Groupe Chopard : l'humain, l'engagement et l'excellence.
Aujourd’hui, il n’existe aucun substitut au sang humain que ce soit dans le cadre d’une opération chirurgicale, d’un accouchement ou d’un traitement et les besoins en sang ne font qu’augmenter au fil des années ce qui créé des pénuries. Actuellement, la France délivre plus de sang qu'elle n'en collecte. La COVID-19 participe grandement à cette pénurie avec des dons qui ont baissé de 20% par rapport à une année normale.
Durant presque 2 semaines, l’Etablissement Français du Sang organise l’opération Missing Type. L’opération Missing Type consiste à retirer les lettres A, B et O de son logo, sa marque, son titre, sa signature email, ses articles… et à modifier ses textes de vœux de bonne année.
Les lettres A, B et O font référence aux différents groupes sanguins : A, B, AB, et O avec leurs rhésus positifs ou négatifs.
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Admettez que cela est plus impactant que de lire : Missing Type est une façon originale d’attirer l’attention sur les dons du sang. Cela permet de susciter la curiosité de la population.
En rejoignant l’opération Missing Type, vous permettez à l’EFS de gagner en visibilité ce qui leur permettra, peut-être, de faire face à l’actuelle pénurie. Nous pouvons chacun, à notre échelle, agir pour le don du sang.
Dans le cadre de cette opération et jusqu'au 16 janvier, le Groupe Chopard retire de son logo les lettres A et O afin de soutenir Missing Type.
J’ai commencé dès le mois de mes 18 ans, heureuse de pouvoir enfin faire une bonne action à mon échelle. Après un entretien avec un médecin puis un questionnaire à remplir, je suis partie dans la salle de dons avec mon kit personnel comprenant une aiguille à la taille plutôt impressionnante ! Sur le coup j’ai hésité à partir...
Et puis finalement, tout s’est bien passé et j’ai recommencé un an plus tard. Depuis, je donne mon sang quand j’en ai l’occasion, pas de façon régulière mais dès qu’il m’est possible de le faire.
J’ai ainsi le sentiment de faire quelque chose de bien, de manière désintéressée, mais surtout j’ai conscience que peut être, un jour, à mon tour j’en aurai besoin…